mardi 28 janvier 2014

Shaikh Tariq Jameel reçoit un prix pour la paix

Page facebook de French Maarif
"Shaikh Tariq Jameel a reçu un prix pour la paix et l'amour. Ce prix lui a été présenté par le département de police de Barcelone.

En assistant à une de ses conférences, les policiers ont eu les larmes aux yeux.
Ils lui ont alors demandé un entretien privé, ce que Shaikh a accepté. Il leur a expliqué à quel point il était important, plaisant, et gratifiant d'être au service des êtres humains.

Impressionnés, ils lui ont plus tard présenté ce prix.

Qu'Allah accepte ses efforts, et le protège contre tous les maux." Shaykh Abdul Raheem

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vendredi 20 décembre 2013

La mort du héros de la bataille d’Alep

Rebelles syriens à Alep, le 21 octobre.

Dans la série des mauvaises nouvelles qui s’abattent depuis quelques semaines sur l’opposition syrienne, celle-ci a été la plus cruelle. Le 16 novembre, l’une des figures les plus charismatiques de l’insurrection, Abdel Kader Saleh, commandant de la Liwa (« brigade ») Al-Tawhid, maître d’œuvre de la prise des quartiers est et sud d’Alep, en juillet 2012, est mort dans un hôpital turc. Il y avait été transféré deux jours plus tôt, après avoir été touché dans le bombardement d’une base où il tenait une réunion secrète avec ses principaux adjoints.

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L’attaque, probablement facilitée par une trahison, avait coûté la vie au chef des renseignements de la brigade, Youssef Al-Abbas, et blessé son responsable politique, Abdel Aziz Salameh. C’est lui qui a annoncé le décès, à 33 ans, du héros des révolutionnaires d’Alep, enterré à Marea, sa ville natale, non loin de la frontière turque.
« C’était un meneur d’hommes, très apprécié sur le terrain, raconte Sinan Hatahet, un militant révolutionnaire installé à Istanbul. C’était aussi un démocrate, islamiste certes, mais modéré, qui parlait souvent de la nécessité de respecter le droit des minorités. Une qualité qui devient malheureusement rare », ajoute-t-il, dans une allusion à la montée en puissance des groupes djihadistes, comme l’Armée islamique, avec laquelle Abdel Kader Saleh entretenait des relations tendues.
Son insistance à se porter sur le front, son sang-froid dans les combats et le large sourire dont il ne se départissait jamais avaient contribué à sa popularité. Celle-ci avait été alimentée aussi par une série de reportages d’Al-Jazira, la chaîne du Qatar, l’un des sponsors les plus entreprenants du soulèvement syrien, qui a probablement été le bailleur de fonds de la Liwa Al-Tawhid. C’est depuis Doha, où il a rencontré le premier ministre qatari, qu’Ahmed Jarba, le chef de la Coalition nationale syrienne (CNS), a salué la mémoire du martyr, qui avait pourtant pris ses distances avec cette formation.
UNE LIGNE ISLAMISTE CENTRISTE
Le visage mangé par une grosse barbe noire, Saleh était connu sous le sobriquet de Hajja Marea. Un surnom féminin qu’il avait choisi au début de la révolution pour communiquer sur Skype sans se faire repérer par les indics du régime. A l’époque, il n’était qu’un marchand de céréales de l’arrière-pays alépin, un représentant de cette classe moyenne sunnite et conservatrice, en butte au mépris et à la surveillance du pouvoir. Contrairement à certains de ses futurs compagnons d’armes, comme Hassan Aboud, le chef de la brigade Ahrar Al-Sham, et Zahran Alloush, le patron de l’Armée de l’islam, Saleh n’avait pas connu les geôles du régime. Au lieu de partir en Irak pour y lutter contre l’occupant américain, il avait voyagé au Bangladesh, où il s’était initié au Tabligh, un courant islamiste piétiste.
Pour financer la création de sa Liwa, en juillet 2012, il aurait vendu une grande partie de ses biens. Bien que certains groupes armés, placés en théorie sous sa tutelle, aient été accusés de piller des usines d’Alep et de vendre leur butin en Turquie, son aura n’en avait pas souffert. Celle-ci avait encore grandi, au début de l’été, quand il s’était porté au secours des défenseurs de Qoussair, un bastion rebelle proche du Liban sur le point de tomber aux mains des loyalistes.
Ces derniers mois, son énergie était surtout employée à contenir les ambitions de l’Armée islamique, qui cherche à s’imposer comme la principale force combattante au nord du pays. Pour les tenants d’une ligne islamiste modérée, sa disparition, qui survient après la démission du général Abdel Jaber Al-Oqeïdi, chef du conseil militaire d’Alep, constitue une lourde perte.
http://www.lemonde.fr/international/article/2013/11/27/la-mort-du-heros-de-la-bataille-d-alep_3521022_3210.html

jeudi 16 mai 2013

Abdelhadi Belkhyat réaparait en mode Tabligh


Adam Sfali - Lemag - publié le Mercredi 15 Mai 2013 à 14:48 modifié le Mercredi 15 Mai 2013 - 14:34

Lemag : Disparu des scènes et des platines, la grande star de la chanson classique marocaine Abdelhadi Belkhyat, est réapparu sur les réseaux sociaux, par une photo de lui, qui explique en ne peut plus clair sa nouvelle orientation.



Abdelhadi Belkhyat réaparait en mode Tabligh
Vêtu de blanc, enturbanné et densément barbu, ainsi est apparu le chanteur marocain à la voix d’or, Abdelhadi Belkhyat, sur une photo qui court le net et émeut largement, vu qu’elle confirme ce qui ne fut jusque là que suppositions, à savoir la nouvelle de son retrait du monde de l’art et son entrée en un ermitage religieux, prés l’organisation salafiste Jamaat Dawaa Wa Tabligh.

L’artiste marocain, natif de Fès en 1940, chantre d’amour à la belle époque, avait, ces dernières années, graduellement versé dans une piété prononcée mais modérée.

Son dernier album n'était composé que de chansons religieuses.

De nombreuses sources médiatiques avaient fait état du don de sa ferme, à la Jamaat Dawaa Wa Tabligh, les mêmes sources indiquent aujourd’hui, que la star marocaine, passe son temps a faire prédication publique des principes de l’Islam, et invite les gens à piété, lors de sorties qu’il effectue avec le groupe Tabligh sur les grandes voies. 

dimanche 28 avril 2013

Les 7 Maliens membres de la Dawa islamique enterrés : La mosquée Markaz prône le pardon

Inhumation membres de la secte Dawa tués à Diabali
Les 7 Maliens membres de la Dawa islamique, tués à Diabali dans la nuit de samedi à dimanche 9 septembre, ont été inhumés ce vendredi après midi au cimetière de Niamakoro. La prière mortuaire a eu lieu devant la mosquée Markaz de Banankabougou et a été dirigée par l’Imam Mahmoud Dicko, président du Haut Conseil islamique du Mali.
La cérémonie a donné lieu à une grande mobilisation des musulmans qui sont venus de tous les quartiers de Bamako et des différentes régions du Mali pour exprimer leur compassion et prendre part à la prière. Ainsi plusieurs milliers de membres de la Dawa islamique ont pris part à la prière, ainsi que des leaders religieux comme le Chérif Ousmane Madani Haïdara, Soufi Bilal et plusieurs autres membres du Haut Conseil islamique. Une forte présence des hommes armés a marqué la cérémonie funéraire de ce vendredi.
Depuis la fusillade qui a occasionné la mort des 16 membres de la Dawa à Diabali, la mosquée Markaz de Banankabougou est sous haute surveillance sécuritaire, avec la présence des gendarmes et policiers dans la cour de la mosquée et aux alentours. Quatre ministres désignés par le gouvernement étaient présents lors des obsèques : le ministre de la défense et des Anciens combattants, le colonel-major Yamoussa Camara, celui des affaires religieuses et du culte, Yacouba Traoré, le ministre de l’Administration territoriale, le colonel Moussa Sinko Coulibaly et celui de la Santé, Soumana Makadji.
Lors de la grande prière du vendredi, les prêcheurs de la mosquée ont véhiculé un message de paix en soutenant que si « cet incident est arrivé par ceux-là mêmes qui sont chargés d’assurer notre sécurité, on ne peut que s’en remettre à Dieu qui l’a voulu ainsi. Nous n’allons prendre ni fusil ni sabre pour nous venger, il faut pardonner et rester dans l’esprit de la Dawa », a souligné le prêcheur avant la prière. Ne dites rien qui puisse choquer, a-t-il indiqué  « Si quelqu’un entreprend autre chose, ce n’est pas une décision des responsables de la Dawa », selon le prêcheur. Nous considérons la terre et le monde entier comme appartenant à Dieu et l’Islam est la religion qu’on doit pratiquer selon les prescriptions de Dieu.
C’est un message d’amour que nous véhiculons sans violence. « Si on l’insulte ou on le frappe, le prêcheur de la Dawa islamique ne doit pas réagir par le même geste, mais doit s’en remettre à Dieu et pardonner », selon le prêcheur qui parlait avant le démarrage de la prière du vendredi à la mosquée Markaz. Il a prêché pour la paix au Mali qu’il a souhaité uni et a appelé ceux qui ont pris la voix de la violence au nord mali à déposer les armes. La prière s’est déroulée dans un climat de compassion.
Approché, le secrétaire chargé de la communication du Haut Conseil islamique, le Dr Mohamed Kimbiri, a exprimé sa compassion aux familles des défunts tout en condamnant la fusillade à l’origine de leur mort.
La rencontre de la Dawa islamique qui était prévue à Bamako du 14 au 21 septembre à la mosquée Markaz, et à laquelle devaient prendre part les prêcheurs a été annulée suite à la mort des 16 prédicateurs (8 Mauritaniens et 8 Maliens) de la Dawa à Diabali. L’annonce de cette annulation avait été faite par Tiefing Konaté, ministre de la sécurité intérieure et de la protection civile, lors de l’Assemblée générale sur la situation sécuritaire, réunissant les responsables des services et les structures relevant de son département, le jeudi.
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B. Daou
Source : Le Républicain du 17 Septembre 2012.

mercredi 13 mars 2013

Three-day Tablighi Ijtema in Manipur concludes


By Dr. Syed Ahmed, for TwoCircles.net,
Imphal: The three-day Tablighi Ijtema held at Thoubal Moijing, in Thoubal District of Manipur ended on March 11, 2013 with a supplication (dua). The Ijtema commenced on March 9 with the Friday prayer at the venue.
The Ijtema was organized at the Thoubal Moijing play-ground, adjacent to the Madrassa Islamia Darul Uloom Azimia. It was attended by around 25,000 devout Muslims from various parts of Manipur, including around a thousand Muslim women, making it the largest congregation of Manipuri Muslims. Separate arrangements were made for women at the venue.


The Ijtema was graced by the presence of few distinguished Islamic scholars and Tablighis or Jamati Bujrugs, generally called Akabirins, from various parts of India, including Delhi.
Offering congregational prayers and delivery of sermons (waz) by prominent Tablighis on fundamental aspects of Tabligh and the Islamic way of life as prescribed in the Quran and Hadith were the main highlights of the gathering.


The Chief Minister of Manipur, O. Ibobi Singh attended on the second day of the Ijtema. Thoubal Moijing, the venue of the Ijtema, is a part of his assembly constituency. He left the venue after meeting some of the distinguished Tablighis.
The annual congregation concluded in the early morning of March 11 with a supplication (dua). The gathering prayed for the well-being of the Muslim community, peace and prosperity of the nation and harmony across the world.


Tabligh Jamaat has been organizing such Ijtema in different locations very year in the State to enhance the Islamic consciousness among the Muslims in the State.
The three-day annual North-East Tablighi Ijtema was held recently in Dibrugarh district of Assam from February 22 to 24. The Ijtema, which was organized at Bokul in Lahoal, near Dibrugarh town, was attended by more than 10 lakh Muslim devotees from various parts of Assam and other North-East States.